FRANK PERRIN, Docks Art Fair Lyon & Hybride Douai, jusqu'au 04/10/15 from Ouvretesyeux ARTV on Vimeo.

Venez découvrir l’artiste, Frank Perrin à La GAD – Galerie Arnaud Deschin et écoutez-le présenter sa série « Empire of Signs ».
Frank Perrin a l’habitude d’interroger notre monde, de questionner les relations entre l’architecture, l’art et l’’argent. Dans “The Empire of signs”, il a récolté plus de 80 néons illuminants les nuits des capitales du monde entier afin de donner à voir une archéologie des mots en voie de disparition.
Frank Perrin, Lyon, Docks Art Fair, Douai, Biennale Hybride, jusqu’au 04/10/15

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Jon Bernad

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IDEAL CORPUS, €UROGIF, 2013, Courtesy des artistes et La GAD.

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ANNE-LAURE COLIN : ANIME L’ŒUVRE DE DIDIER MARCEL

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Nicola Melinelli  (Bologne)

Guillaume Clermont vit et travaille à Montréal.

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http://www.guillaumeclermont.org/

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available works / œuvres disponibles

Guillaume Clermont, Sans titre, peinture acrylique sur toile, 30 x 24 cm, 2011

Guillaume Clermont, Sans titre, peinture acrylique sur toile, 30 x 24 cm, 2012

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Guillaume Clermont, Etang de la série des Fontaines, boîte en carton, résine epoxy, silicone et fleur artificielle, eau, 16 x 24 x 29 cm, 2011.

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Des crânes, des chiffons, des boîtes et des tableaux.

Je peins des crânes. En fait, je peins toujours le même crâne, encore et encore. Ce crâne à la mâchoire disloquée, découvert au hasard en feuilletant un livre d’histoire de l’art à Marseille, est l’oeuvre de Jan Gossaert, peintre flamand du XVIième siècle. Ce crâne est depuis le leitmotiv autour duquel s’articule mes recherches plastiques: qu’il soit présent ou absent de mes œuvres, il est toujours l’élément structurant de celles-ci.

Pour moi, le crâne est un double du miroir: que l’on regarde un crâne ou un miroir, on a toujours l’impression de voir à la fois son propre reflet et celui d’un autre. Néanmoins, le crâne ne laisse jamais place au doute: on sait qu’il ne s’agit pas de nous.

Pourquoi peindre des cranes alors? Parce que le crâne est un motif surconnoté, saturé de sens et qu’à notre époque on le retrouve partout. En le démultipliant dans mes oeuvres, j’essaie de lui faire perdre son sens. Le crâne devient alors un prétexte pour peindre. Néanmoins, même si je peins des crânes encore et toujours, la mort ne m’intéresse pas. S’il y a quelque chose qui m’intéresse de la mort, c’est le rapport improbable que nous entretenons avec celle-ci. Pour les mêmes raisons, je ne m’intéresse pas à la vanité, mais aux mécanismes sur lesquels ce genre pictural repose. Lorsque je peins ce crâne, j’essaie de le disloquer encore et encore.

Je cherche donc à fuir le sens. Cette fuite semble restée toujours vaine, une tentative vouée à l’échec. Pourtant, ce n’est pas tant sa réussite qui m’importe que l’idée de tentative en elle-même, peu importe son issue.

Mon travail est en soi une tentative de sauvetage de son propre auto-sabotage. Il est en lui-même une contradiction, une impasse. En fait, on pourrait parler d’un moment improbable.

Au final, une seule question m’intéresse: What remains?

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Des boîtes, il y en a partout. À tous les jours, des boîtes, des boîtes et des boîtes. La plupart du temps, elles contiennent quelque chose. Parfois, elles ont une utilité quelconque, sinon, elles sont là, simplement abandonnées. Contenants devenus vides, elles sont la trace de tout un système social et économique, d’une dynamique quotidienne. Avec Fontaines, ces boîtes deviennent, l’espace d’un moment, les rouages d’une tentative de sauvetage. Cette tentative précaire ne tient presque à rien: quelques boîtes en carton contenant de l’eau et des fleurs. Aussi vaine soit-elle, cette improbable situation met de l’avant un fait indéniable: l’inévitable fragilité des êtres et des choses face au temps.

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Olivier MOSSET né en 1944 à Berne en Suisse.

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Après ses études d’art à Lausanne, il devient l’assistant de Jean TINGUELY et de Daniel SPOERRI. Arrivé à Paris, il peint des toiles portant une ou plusieurs fois la lettre « A »qu’il expose au musée d’art moderne de la ville de Paris en 1966. Il participe au groupe BMPT en 1967 avec BUREN, PARMENTIER et TORONI. Sa première exposition personnelle date de 1968 à Paris. En 1977, il s’installe à NEW YORK où il peint des monochromes (rouge, orange, rose, vert). En 1994, au musée des beaux-arts de SION, il réalise une installation de sculptures en carton (Toblerones). Olivier MOSSET vit aux Etats-Unis.
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« Mosset, comme d’autres membres du groupe BMPT, se présente comme un « non peintre » dans le sens traditionnel de l’expression, dans la mesure où il revendique le fait de « rendre visible le mécanisme dont la peinture procède » et qu’il critique le cadre institutionnel de l’art ». Päul Eli IVEY. Son oeuvre radicale, minimaliste, s’est prolongée en trois dimensions.
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Specific Objects without Specific Form by Felix Gonzalez-Torres at MMK in Frankfurt

A large candy mountain is exhibited at the Museum for Modern Art MMK in Frankfurt, Germany. About 300 kg of sweets form the artwork ‘Untitled (USA Today) 1990’ by Cuban-Born artist Felix Gonzalez-Torres. The museum dedicates a special exhibition to the artist who died in 1996. The retrospective ‘Specific Objects without Specific Form’ will be open for visitors until 25 April 2011. Candy Mountains are among his most famous works. Visitors are invited to try the sweets; their participation is an important aspect of the work. EPA/FRANK RUMPENHORST.

More Information: http://www.artdaily.com/section/news/index.asp?int_sec=2&int_new=44566&b=cuban[/url]
Copyright © artdaily.org

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L’ABSTRACTION, FIN EN SOI OU ESPERANTO PLASTIQUE ?
DANDYSME FORMEL OU RAPPEL D’UN MONDE PUISSAMMENT AGENCE PAR DES NECESSITES DE COMMUNICATION AUSSI SYNTHETIQUES QUE BRUTALES?
RIZZO ET DA MATA NE TRANCHENT PAS MAIS CONFRONTENT LEURS DEUX APPROCHES DANS UN ACCROCHAGE A LA COURTOISIE POTENTIELLEMENT EXPLOSIVE.

ABSTRACTION AS AN END IN AND OF ITSELF, OR AN ARTISTIC ESPERANTO?

A FORMAL DANDYISM, OR A REMINDER OF A WORLD POWERFULLY ORGANIZED BY COMMUNICATION NEEDS AS SYNTHETIC AS THEY ARE BRUTAL?

RIZZO AND DA MATA DON’T MAKE THE CHOICE, BUT THEIR APPROACHES ARE CONTRASTED IN A DISPLAY OF POTENTIALLY EXPLOSIVE COURTESY.

DUO SHOW : BATTLE VERONIQUE RIZZO VERSUS FRANCISCO DA MATA

Photo © Pedro Morais

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Holey Glory

Une exposition de Sophie Dejode et Bertrand Lacombe

03.09.11 > 29.10.11
la Friche Belle de Mai / Marseille

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Photo souvenir de ma visite :  La Fabrique Marc et Josée GENSOLLEN, Marseille.

Saâdane Afif, L’André, 2009 / André Cadere, A91: noir, blanc, jaune, bleu, 1977

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à gauche en bas : brown box #0, dimensions variables, œuvre de Matthieu Clainchard

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Matthieu Clainchard

Antimatière / avenue Thiers, 2009, 240 x 140 x 160 cm, acier galvanisé thermolaqué, Pièce unique.

la station, Nice

SHOW TRIANGLE FRANCE, Marseille.

La GAD Marseille.

Micro Onde – centre d’art contemporain de l’Onde, Vélizy – Villacoublay.

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œuvre de Vincent Ganivet, mamac Nice, 2011.

vernissage, hivernage une exposition de  Matthieu Clainchard,  le 7 janvier 2011, à l’heineken d’ora ito 😉

Marie je t’aime, Cyril 😉

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